“Like the bear-pits in Shakespeare's time, we attend hockey games as our popular theater. It is a place where the monumental themes of Canadian life are played out – English and French, East and West, Canada and the United States, Canada and the world, the timeless tensions of commerce and culture, our struggle to survive and civilize winter.” –Ken Dryden
The Montreal Forum, home to the city's beloved hockey team, the Canadiens, from 1926 to 1996, is among the most storied buildings in all of professional sports. In its seventy-two years of hosting National Hockey League contests (including those of the Canadiens' sometime rival, the Montreal Maroons, from 1924 to 1938), it witnessed its home teams raising the Stanley Cup an astonishing twenty-four times. The hockey faithful speak of the Forum in hushed, reverent tones, with the same awed demeanor that accompanies a baseball fan's adoration of Fenway Park or Wrigley Field. As Anouk Belanger wrote in 1999, “It is often said that hockey in Quebec is like a sort of religion. The Montreal Forum was elevated, in the Quebecois imagination, to the title of ‘Hockey Temple.'”
[...] [10] Quoted in Andy O'Brien, Les Canadiens, 57. [11] Quoted in Jean Pellerin, 227-8. My translation. “M. le président afficherait une partialité évidente dans ses réactions au jeu, il sourit et affiche ouvertement sa joui quand le club adverse compte un but contre nous … Mais ce serait trop long de relever toutes les injustice dont ont été victimes les joueurs du Canadien depuis qu'il est à la présidence du circuit. Étrange que seuls Dick Irvin et moi ayons le courage de risquer notre gagne-pain pour défendre notre cause devant un tel dictateur. [...]
[...] On prive les Canadiens français de Maurice Richard. On brise l'élan de Maurice Richard qui allait établir plus clairement sa supériorité. [...] On est soudaine fatigué d'avoir toujours eu des maîtres, d'avoir longtemps plié l'échine. M. Campbell va voir. [....] Les sentiments qui animaient la foule, jeudi soir, étaient assurément confus. Mais est-ce beaucoup se tromper que d'y reconnaître de vieux sentiments toujours jeunes, toujours vibrants: ceux auxquels Mercier faisait jadis appel quand il parcourait la province en criant: "On a tué mon frére Riel." Sans doute il s'agit aujourd'hui de mise à mort symbolique. [...]
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